Dixième intégrale déjà et deux autres sont à suivre. Tif et Tondu ont eu bons nombre d’aventures et les plus intéressantes sont celles avec Choc. Ça tombe bien, on le retrouve ici dans trois longues histoires et ça fait un choc !

Gears of War 3 permet de finir en beauté une trilogie qui a amené la Xbox 360 au sommet dans le coeur des joueurs. Avec un mode histoire jouable à 4 rempli de moments de bravoure, et des modes multi à foison, on peut dire que Epic Games ne s'est pas moqué de nous. Go Gow 3 !

Suite et fin d’un joli diptyque, qui s’enlise malheureusement un peu trop dans les méandres de ses explications généalogiques.

Un deuxième tome de Bidule dans la lignée du précédent, un poil de chien moins bon, mais toujours agréable à lire.

La 3D rend le tout immersif, mais autant aller au concert...

Blutch juxtapose ses visions de cinéma sans hésiter à verser dans le pédantisme. Même si on aime Burt Lancaster, Paul Newman et/ou la Nouvelle Vague, difficile de trouver l’album passionnant.

Comme son prédécesseur, ce Johnny English 2 tardif parodie gentiment James Bond, et le timing comique de Rowan Atkinson assure un spectacle familial et biodégradable.

Quatrième et dernier opus de l’histoire d’Éric Stalner, elle reste classique avec ses thèmes habituels. La vengeance de Jean-Baptiste va prendre fin, mais quelles seront les conséquences pour les personnages ? À vous de le découvrir.

Si vous êtes champion, vous savez que vous devez défendre votre titre cette nuit-là. Même Alberto Del Rio n'a pas pu échapper à cette règle malgré ses grandes qualités pour esquiver les matchs. La conspiration va prendre une nouvelle tournure également ce soir là. L'alliance du Miz et de R-Truth va-t-elle nous révéler ce que tous les "Little Jimmy" trament ?

Les croisés se font tuer dans les rues de Saint-Jean d’Acre. Les autorités de la ville demandent alors à Gauthier de résoudre ce problème d’autant qu’il semble être la raison de ces meurtres. Un superbe dessin, des couleurs presque réelles et un scénario qui sera à juger dans sa globalité, tel est ce qui vous attend.

Les rapports des États-Unis avec le Moyen-Orient ont commencé par un affrontement avec la Lybie. Allant jusqu’en 1953, on retrouve les nombreuses oppositions et les fourberies entre ces pays. Bien qu’intéressant, on frôle l’indigestion.

Une comédie romantique sympathique... Mais sans originalité.