Suite de la suite d'un jeu relativement mythique. Mars sous les effluves de sa stratosphère : un space opera au goût de sable chaud et de destruction délicieuse.
Deux compilations des gags du Petit Spirou, parues simultanément dans le but de cartonner dès le début de l'été. Alors oui, c'est drôle, mais on ne les a pas déjà lus la semaine dernière ?
Temps de conquête et de barbarie dans toute l'europe occidentale, avec de l'hydromel à bord et des joies simples : tuer, piller, ravager... le quotidien d'un viking par l'auteur de Planètes.
Si la Force de l'art était un disque, ce serait une assez bonne compilation pour l'été, pas désagréable mais sans surprise (bonne ou mauvaise), sans pertinence. Celle-ci rejoindrait rapidement la pile des albums qui prennent la poussière, à défaut de l'avoir revendu.
Enquêtes incongrues dans le Paris des années 1800 ou l'Angleterre des années 40, Britten et Ontophage ont tout en commun mais rien à voir. Le choix est ardu.
Presque un an jour pour jour après le tome 1, cet opus reprend l'action où elle s'arrêtait. Sans perdre une once de rythme, les auteurs enrichissent en plus leur propos et développent leur fond.
Avec sa petite nature et son grand talent, Jean-Christophe Chauzy livre un troisième volet en très grande forme de sa vraie fausse autobiographie au quotidien.
Des Hikikomori et des jeux vidéos. What else ?
Dans la lignée de GTO, une autre histoire de professeur déjanté est mise en lumière. Mais à la place du barjot, voici un manipulateur...
Comme il est savoureux et délicieux de jouer au bac à sable à courir sur les immeubles, découper en rondelle et détourner les véhicules de l'armée. Tout ça pour se venger violemment.
1066 : une des batailles les plus importantes de l'Histoire d'Angleterre se prépare, et on voudrait nous faire croire que l'Eglise n'a rien à voir là-dedans ! Cette BD rétablit enfin la vérité.
On recentre l'intrigue sur les personnages principaux, on invite un bataillon de singes particulièrement inquiétants... Après un coup de mou au troisième tome, Seuls vient rappeler qu'elle est une excellente série jeunesse.
A l'E3, Fairytale Fights ne jouait pas la carte technologique pour séduire. Pourtant, le contraste entre violence et conte de fée à la sauce Powerstone semble prendre.
Silent Hill revient enfin sur nos consoles de salon, après tant d’attente. Mais le constat est rude : la licence a perdu de sa superbe, et on se retrouve devant un jeu lambda. Dommage...
BD étrangement machinée et au dessin improbable, Antichristus mélange l'ésotérique vatican à l'ambiance des romans de pirates romanesques. A ça d'y parvenir, ça se vautre quand même un peu.