Dead Island est un jeu prenant qui s'illustre comme un Borderlands au pays des zombies. Survivre n'est pas si aisé mais le bonheur de choisir ses armes et de détruire les morts-vivants est jouissif. Un FPS qui parvient donc à convaincre tout en se distinguant de ses concurrents grâce à son ambiance mortelle et son flot de sang.

Aujourd'hui, moi SuperGu, haut défenseur de la culture (geek?), je vous présente Les Goonies, film de Richard Donner sorti en 1985. Une critique, une bonne note et du fun.

No Surrender est arrivé et la pitié n'est pas de rigueur. Toutes les stratégies sont bonnes pour gagner. Aries va-t-il prendre le titre après une guerre d'usure face à Kendrick ? Angle peut-il contrer la folie du Stinger ? Et enfin, qui va remporter le tournoi Bound for Glory ?

Patti Smith a chanté Because the night. Et d'autres l'ont repris avec plus ou moins de talent.

Un premier tome agréable à lire mais qui n'arrive pas forcément à séduire. En effet, cet album est un peu timide malgré des qualités indéniables comme son personnage principale ou son équipe improvisée.

Baskup Tony Parker n'est qu'une tentative d'extorsion d'argent surfant sur la vague de la célébrité de notre star nationale de la NBA. Mettez Zizou à la place avec du foot, et c'est pareil. Remarque cela doit exister....

Il parait qu’à partir de septembre, et jusqu’à la fin de l’année, nos âmes de joueurs vont vibrer devant tant de merveilles vidéo-ludiques. Mais attention, au milieu de toutes ses perles, un vilain petit canard s’est glissé, pour essayer de vous faire regretter d’être né. Rise of Nightmares est la bouse à éviter de cette rentrée 2011. Je l’ai touché, je suis infecté, alors écoutez moi, fuyez!

NBC lance le Comedy Wednesday avec Up All Night et Free Agents. On zappe ? On zappe pas ? Premier coup d'oeil sur une nouvelle comédie au casting impressionnant.

Seconde comédie du NBC Comedy Wednesday, Free Agents n'a pas le droit à un casting de choc, seulement à Hank Azaria et à un pitch vu, revu, rerevu et rererevu dans une sitcom...

Un classique des années 80, écrit et dessiné par Jim Starlin. Si l’idée de zigouiller un personnage pouvait faire mouche à l’époque, elle apparaît aujourd’hui un peu faiblarde pour soutenir un album entier.