Nouvel épisode de la saga vidéoludique adapté au format papier pour un résultat quasi-similaire.
Principe de départ original et talent de conteur du scénariste, deux éléments déjà en faveur d'un avis favorable. N'y manquait qu'une bonne illustration... Ah ben non ! C'est bon, elle est là.
Du rock celtique sur Krinein ? Et pourquoi pas ? Voici donc le quatrième album de Dom Duff où le vent mugit sur les pierres levées.
Soleil se lance dans un genre trop rare dans le manga pour ne pas être surligné : un policier fantastique assez ambitieux.
Une critique molle de notre société libérale à outrance, qui n'apporte rien de nouveau au schmilblick.
Le peintre Marc Chagall ne peut pas se passer de dessiner ce qui ne plait pas au père de celle qu'il aime. Il en a besoin pour vivre, un peu comme son auteur.
Suivant un très bon premier tome, cet album conserve une réelle qualité, mais qui ne se manifeste pas au niveau attendu.
Cet ouvrage retrace les quinze dernières années de Le Corbusier, le célèbre architecte. C'est peut-être pour les fans (d'architecture, et pas de BD).
Tome 2 de cette adaptation de l'histoire victorienne la plus populaire auprès des jeunes filles, cet album respecte ses engagements, sans plus.
Miss Annie est une chatte de cinq mois qui aimerait sortir afin de découvrir le monde extérieur. Ce sera bientôt chose faite. Il suffira juste d'un peu de patience.
Premier tome autour d'un sujet qui mêle l'ésotérique à une pointe de politco-religieux, cet album exerce sur le lecteur un charme d'amnésie.
La disparition d'Alice Creed nous apprend deux choses. La première, qu'on pourra toujours le louer en DVD lors d'une soirée bières et pizzas avec ses potes. La seconde, que même avec des billets de Monopoly, on peut faire du bon cinéma.
Drazen, apprenti magicien, doit passer plusieurs épreuves afin de devenir le magicien que son père rêve qu'il soit.
Sous couvert d'un propos plutôt violent par la douleur qu'il raconte (et provoque), L'arbre est pourtant un film lumineux et optimiste, qui s'étire presque vers la contemplation.
Après une très bonne reprise dans le tome 6, ce dernier laisse une impression diffuse d'inachevé.
L'originalité d'un sujet ne suffit pas à faire un long métrage, même quand on s'appelle Bertrand Blier. Reste le plaisir de voir Dujardin et Dupontel incarner respectivement un écrivain alcoolique et son cancer.
Oui, je sais, la critique est à la bourre, mais c'est la faute à Blizzard ! Ils n'avaient qu'à pas faire de jeu aussi complet, je n'ai plus de temps libre, moi !
Avec son casting affichant pas moins de 24 burnes plus ou moins célèbres (oui oui, divisez par deux pour trouver le nombre d'acteurs), Stallone rame un peu pour fournir à la fois la dose d'action et le développement narratif nécessaire. Parfois, le mieux est l'ennemi du bien, et on frise ici l'indigestion de bonnes choses.
Merlin est sur le point de mourir. Il a reçu plusieurs balles coulées avec des morceaux d'excalibur, tirées par le gobelin Glee. Le seul moyen de le sauver va être de trouver du sang de dragon.
Tom Dare était un homme "normal" qui du jour au lendemain se découvre une maladie atypique : il se change en pierre. Débute alors un superbe récit dans lequel se mêlent enquête, émotions et graphismes justes. Un bel album avec le dessinateur de The Walking Dead.
Star trop souvent méconnue du cinéma d'action, Dolph Lundgren occupe depuis une quinzaine d'années le territoire du direct-to-video. Désormais, il assure lui-même la réalisation, et s'en tire comme un chef.