Le premier grand titre de l'année se confirme avec Darksiders. C'est un quasi sans faute de la part de Vigil Games et THQ, qui même s'ils reprennent beaucoup de choses des grands classiques, les magnifient par un design léché, original et varié et un gameplay à toute épreuve. Attention jeu un poil difficile parfois.
F1 2009 sur PSP permet de revivre la saison avec plaisir au travers de nombreux modes de jeu. Cela grâce à une jouabilité bien dosée, fin compromis entre arcade et simulation.
Sympa, frais et addictif malgré de nombreux détails ennuyants. On ne se rend même pas compte que les heures passent à écouter de la musique d'ascenseur. Du coup c'est réussi. Avis à ceux et surtout celles qui veulent se détendre.
On est déçus que la saga stagne à ce point au bout de deux ans sans rien à se mettre sous la dent. Et il faut bien s'avouer que le jeu, même s'il n'est pas plus beau que Phantom Hourglass et qu'il paraît du coup plus moche, reste un bon Zelda. Très prenant bien que plat.
Meryl Streep, Alec Baldwin et Steve Martin sauvent de leur présence une gentillette comédie romantique, dont la seule (relative) originalité est d'aborder le thème des familles tardivement recomposées.
Une poignée de clichés essaimés entre le bitume de Paris et le soleil de Miami. Les acteurs ne sont pas vraiment à leur place, et l'aventure ne convainc jamais. Et Manu Payet en équivalent de Tommy Lee Jones, sérieusement...
Français pour une nuit, un DVD spécialement destiné au marché hexagonal. Telle est la dernière idée merchandising des Four Horsemen.
Spin-off de Lanfeust, les aventures de Cixi sur un bateau laissent dubitatif et poussent à se demander s'il fallait vraiment y revenir.
Après s'être nourri des légendes de la Table Ronde, Alexandre Astier bâtit les fondations de sa propre mythologie, en imaginant la jeunesse d'Arthur à Rome. Délibérément moins drôle qu'au début, mais la série a pris une nouvelle dimension qui lui sied bien.
Une troupe du GIGN local escorte un prêtre exorciste à la mission nébuleuse dans l'immeuble sinistré du premier opus.
La route présente les mauvais penchants de l'âme humaine. A moins que ce ne soient les bons. Tout dépend du point de vue, comme pourrait le laisser penser un Matheson de passage.