La vavache elle rerevient, mais papas toutoute seule ! Coucousin pinpin arrive dudu haut de son aigle vovolant ... Et ça vava boubouger !
A la croisée du cinéma d'épouvante de l'âge d'or et du super-héroïsme torturé tel qu'on le pratique aujourd'hui, Darkman reste à ce jour le meilleur film de Sam Raimi, qui se contentera d'en décliner une version familiale dans Spider-man.
Marvel tente de se créer un équivalent de Watchmen, avec l'aide du scénariste J.M. Straczynski. L'effort est laborieux et les personnages ne sont pas tous intéressants, mais quelques éclairs zèbrent l'ensemble.
Un making-of massif de Watchmen, qui présente l'intégralité des crayonnés mais ne donne pas l'impression de rentrer suffisamment dans les rouages du processus de création. En gros, il manque le point de vue d'Alan Moore.
Avec BattleForge, les mêmes démiurges sont cette fois-ci parvenus à associer trois genres différents.
Une huitième saison qui avait des airs de grand final... Mais en fait, non. Clark est pourtant quasiment devenu le Superman que tout le monde attendait, et la série risque de ne plus retrouver l'énergie qu'elle déploie ici.
Ce premier opus, d'une trilogie ancrée autour du personnage mystérieux de Rosalie Blum, nous apparaît comme l'ouverture très prometteuse d'une histoire en apparence pourtant bien ordinaire.
Johnnie et Johnny s'allient pour un "Charles Bronson à Hong Kong" plutôt primaire mais pas dépourvu de panache. Sa présence en compétition à Cannes reste pourtant assez mystérieuse.
MySims Party essaye de se faire une place au soleil des Party Game sur Wii. Un essai manqué dû à un manque de fun évident pour ce style de jeu.
La signature de la géniale créativité d'Arkedo et de son rêve à l'état pur est un peu gâchée par quelques imprécisions tactiles et une trop importante difficulté du jeu à certains moments.
« My name is Gladiator ». Un méchant de l'âge d'or ressurgit dans les pages de Daredevil... Mais les apparences ne sont-elles pas trompeuses ? Un récit solide qui appelle une suite de toutes ses forces.
Le roi serpent revient pour nous apporter un beat'em all pas très beau mais ô combien prenant pour peu que l'on adhère à la série des Dynasty Warriors et Samurai Warriors.
Nouvelle vedette de chez le Lombard à chercher son style dans le genre des intégrales, Yakari nous rappelle qu'il est le master du poutou sur la truffe.
Ennui britannique dans un film au scénario désuet et finalement bien fade. Le réalisateur de Priscilla folle du désert, après dix ans passés loin des caméras, semble avoir les articulations rouillées.