Avec une certaine honnêteté, ce slasher en relief délivre ce qu'on attend d'un slasher en relief sans se casser le bol outre mesure. Vendredi 14 ? Heyyy, ça marche, si on est en février !
Premier tome d'une série qui, malgré son environnement un peu niais, retient l'attention par son exposition et son illustration, à la limite de l'étrange.
Toujours aussi bon et agrémenté de tout plein de petites choses qui font une petite différence. Malheureusement, pas d'instruments pour faire un test complet. La playlist est fort agréable, vaste et progressive.
Très bon soft dans une édition sans reproche. Les bonus en font une version légèrement collector, mais le jeu parle de lui- même mis à part le parti pris graphique, parfois trop carnavalesque. Un excellent titre.
Le ninja le plus abruti n'est pas Naruto mais bien Nikimaru dont la bêtise n'a d'égal que le rire qu'elle provoque. Et on rit souvent...
Enki Bilal reste un gros fumeur de moquette, dont les délires narratifs sont servis par un dessin irréprochable et envoûtant. Demi-zèbres, dauphins mutants et hippocampes volants peuplent le monde de ce nouvel album déroutant.
Une bande de disc-jockeys pirates inonde l'Angleterre de bon vieux rock à partir d'un bateau en mer. Ça donne envie de balancer un "fuck" retentissant.
Henry, explorateur et gentleman, met la main sur un trésor aussi puissant que classe : le chapeau de la classe. A lui de recomposer tout le costume avant que le monde ne sombre dans le chaos. Mélange de plateforme et de puzzle, ce jeu saura conquérir tout le monde tel un costume 3 pièces bien taillé.
Un dragon, des monstres, des coups qui pleuvent et au final, un petit shônen simpliste mais explosif. Au crayon, Takeshi Obata.
Plein de questions existentielles et si peu de réponses. La vie est mal faite alors autant partir dans un voyage initiatique pour découvrir L'Essence de la Vie.
Dernier album pour Jack et Sammy, qui rangent la sulfateuse pour permettre à leurs auteurs de mener d'autres projets. Dommage que Cauvin n'ait pas plutôt choisi d'arrêter une de ses poussives séries d'humour, car Sammy tenait encore la route.
Retour aux sources pour Logan. Comment le petit loup aux griffes en os devient l'invincible Wolverine au squelette en métal ? Réponse inside.
Un titre rock tout en musique dans un monde aseptisé par la guimauve diffusé. Si tout n'est pas parfait, on retiendra quelques bonnes idées de ce manfra amusant.
Un album opportuniste mais réussi, qui revient sur une des périodes japonaises de Logan. Brian K. Vaughan au scénario et Eduardo Risso au dessin.
L'univers fantasy de Shin se montre à l'image d'un certain nombre de global mangas : avec beaucoup de bonnes intentions, sans beaucoup de moyens...