Thomas Szabo et Hélène Giraud livrent aux amateurs de bébêtes volantes et rampantes, avec finesse, tendresse et humour une des séries d’animation les plus réussies dans ce domaine.
Une petite faim ? Le Restaurant du Bonheur se propose de venir combler ce petit manque. Mais plutôt qu'un festin, voici le sandwich SNCF du manga !
Dans cette première partie, Soderbergh dresse un portrait plutôt conciliant du plus célèbre des révolutionnaires en prenant soin de montrer son évolution et sa vision politique. Sympathique.
Shigeru Miyamoto a des concepts plein la tête, celui-là aurait du rester là où il était. A moins que vous n'ayez six ans, et encore.
Le jury d'Angoulème a retenu Undercurrent pour son prochain festival. Coup de projecteur sur ce seinen qui mérite amplement sa sélection.
Nury et Vallée continuent de nous raconter l'histoire de cet homme au destin particulier, juif et collaborateur, à la fois surnageant et profitant de cette période noire qu'était l'occupation.
Les morts-vivants se lèvent lentement, prêts à dévorer des cerveeeaaaauuuuxxxx. Un horizon de cendres lui se lit vite, s'oublie vite et n'atteint pas le cerveau.
Beau livre jeunesse qui plaira aussi aux parents imaginatifs et aux êtres sensibles en géneral. Et si après vous soutenez qu'une vache et un garçon ne peuvent pas être amis c'est que vous n'avez pas de coeur ou pas d'imagination.
Rise of the Argonauts reprend le mythe de Jason et la toison d'or pour un jeu mêlant énigmes et combats épiques.
1981, c'est la sortie de Ronald Reagan en politique, d'Excalibur au cinéma et de Killers dans les bacs, et tout ça va faire mal.
Une deuxième moitié à la hauteur de la première, qui avait cependant l'avantage et l'inconvénient d'être plus nébuleuse. L'ambiance est sordide et immersive, l'association Nury-Manini donne envie d'être revue.
Un premier film à l'écriture appliquée, qui laisse malheureusement un trop fort parfum de déjà-vu pour qu'on apprécie pleinement la mise en scène maîtrisée. Du film noir un peu scolaire.
Danny Boyle n'est jamais là où on l'attend (d'ailleurs, on ne sait plus trop où l'attendre). Cette fois, il part en Inde pour filmer une histoire de chance et d'amour sur fond d'aventure humaine. On l'a connu plus cynique.
Quel est le comble pour Tom Morello ? Etre de gauche et changer tout ce qu'il touche en or. Un album parfait du début à la fin.
Une bonne série si on aime les teen movies dans une ambiance légèrement trash. Mis à part l'absence de bonus et la vente de la première saison en deux parties, le traitement technique est très bon permet d'apprécier à sa juste valeur l'excellente BO de la série.
Loin d'un Supergrave, Les Grands Frères propose une comédie américaine sans grande ambition mais affichant certaines qualités.
Expression extrêmiste des maux de la planète sur font de métal parfois symphonique mais souvent libre, on se laisse aller à obtenir l'amusement de nos sens pris par surprise par ce tourbillon d'énergie étrangement positive dans une noirceur quasi absolue.
Film de la maturité pour Terry Gilliam, Fisher King est un conte moderne où l'on devient adulte en acceptant sa part d'enfance. Mais pas seulement.
Des chats et des humains s'allient contre les forces du Mal. Dit comme ceci, on passe volontairement à côté mais en y regardant de plus près...