Un shônen ecchi pour satisfaire un public qui apprécie le genre. Les autres l'éviteront comme la peste.
Spin-off de Kid Paddle lancé en 2003, Game over suit les mésaventures d'un petit barbare héros de jeu vidéo. Avec son humour cartoonesque sadique, la série est curieusement susceptible de plaire à un public plus large que son aînée.
Des ambiances mélancoliques presque symphoniques (ce qui est un comble pour un trio) dans des chansons sans paroles, emplies de lumière...
Comment construire un combattant de l'extrême en dix leçons ? Le mode d'emploi intitulé Ken-ichi, le disciple ultime semble répondre précisément à cette question !
Le concept commence à trouver ses limites, mais le scénario parvient à se renouveler suffisamment pour maintenir l'intérêt. Et le super-héroïsme version ‘humour gore' garde un attrait indéniable.
Volet central d'une trilogie de la niaiserie confectionnée pour un public très restreint de midinettes fans de mangas. On ne sait même pas pourquoi le titre est Rose.
D'une idée dingue (une épidémie de cécité fait rage dans une population qui cloître ses infectés dans une zone de quarantaine où ils forment une mini-société), Fernando Meirelles fait une expérience purement formelle au détriment du scénario.
Un trader qui perd une fortune en fraudant, et dont on se demande dans quelle mesure il a pu agir seul, ça vous rappelle quelque chose ? Pourtant, Dantès n'est pas une série opportuniste puisque son premier tome date de septembre 2007 !
Un rendu impeccable et deux heures de bonus : Rambo 4 est un bon premier Blu-ray pour une collection. Et surtout, le film est au moins aussi réussi que le premier.
Jeu à l'univers très personnel et amusant, Little Big Planet est probablement le chaînon manquant de la PS3 pour le développement d'un nouveau catalogue qui allierait le soft familial au plaisir gamer.
Minik l'esquimau n'a rien à faire dans le New York de 1898 : la poésie des dessins d'Hippolyte sert parfaitement le texte de Richard Marazano dans cette nouvelle publication d'Aire Libre.
Une biographie alléchante mais un peu décevante d'un pilier du rock et du roll. Difficile de mettre le doigt sur ce qui pèche dans cet album pourtant sincère et soigné.
Righteous Kill (titre VO) n'échappe pas à la sacro-sainte loi selon laquelle le casting, aussi prestigieux soit-il, ne fait pas tout. Dans l'ordre des choses, la plupart du temps, on se vautre.
Bomb The Bass revient avec un album apaisé, sublime, mélant parfaitement une pop angélique avec une électronique sourde et crade.
Les deux jeunes auteurs de cette BD nous livrent une histoire de gangsters en forme d'hommage poétique aux valeurs de la vieille garde, et on est touché par le style.
Encore une belle découverte chez Jarring Effects avec ces rejetons de Svinkels et Stupeflip et donc nourris au gros son qui claque.
Deux interviews automatiques, portraits croisés d’un duo sensible qui de fil en aiguille et en ballades tranquilles s’installe dans votre quotidien. Cha côté face.