Un film émouvant et sincère, qui traite un sujet casse-gueule avec une retenue appréciable. Le casting est à la hauteur, même si Lambert Wilson en fait un poil trop dans le rôle principal.
Interview automatique de celui qui s'amuse à mélanger arrangements classiques et mélodies pop pour mieux séduire l'auditeur mélomane...
Sphere n'est pas Rain Man, c'est un fait. Mais c'est bien. Et puis c'est tout. Un film de boule rondement mené (sorry).
De nouveau, ZEP nous tourne vers cette question fondamentale : "c'est quand qu'on a des poils ?" Et de nouveau l'humanité s'interroge.
L'irrésistible ascension et la suprématie de "McDo" ont un prix. Et fast en allemand signifie "presque", ce qui fait qu'un fast-food est un restaurant de "presque-nourriture".
Un trip perso beaucoup trop hermétique pour qu'on se soucie de l'héroïne où du monde dans lequel elle évolue. Le dessin n'a rien d'enthousiasmant, et l'album fait 140 pages.
Le règne du Blu-Ray arrive, au point qu'un éditeur comme Warner puisse vaguement bâcler la version DVD d'une de ses plus grosses sorties. Les bonus restent globalement les mêmes sur les deux supports, néanmoins, et sont d'un niveau assez correct.
Un polar méridional signé de l'infatigable Eric Corbeyran, qui compense l'aspect "déjà-vu" de son intrigue par les illustrations soignées de Olivier Berlion.
Un scénario d'une bêtise vertigineuse, mis en image comme une pub Nescafé par un réalisateur persuadé d'être la réincarnation d'Hitchcock. Quelle manipulation a poussé Jackman et McGregor dans ce piège ?...
Le dernier film des frères Dardenne dresse le portrait d'une femme piégée dans une situation révoltante. Pourtant, on reste assez loin de toute émotion ; un comble.
Enquête paranormale dans l'Angleterre de l'entre-deux-guerres : Alcante fignole un scénario bien troussé auquel on reprochera surtout le manque de charisme du héros.
Plus de 300 ans d'histoire de l'industrie et des sciences en général réunie dans un bâtiment grandiose. Unique et époustouflant.
Suite et fin d'une trilogie remarquable qui, à défaut de décomplexer les gauchers, fascinera le lecteur et l'amènera à se poser quelques questions... Le dessin de Formosa donne un relief tout particulier à l'histoire de Corbeyran.