Un conflit de voisinage sur fond de conflit israélo-palestinien, porté par deux femmes magnifiques.
Cela ressemble à un jeu vidéo Atari, une vision du futur, ancrée dans le passé, une anticipation digne d’Orange Mécanique. Une fantaisie fraîche… et envoûtante !
Un deuxième opus dans le même esprit que le premier, presque une copie conforme. Au final, un film férocement sympathique.
Les morts sortent de leur tombe, les fantômes affluent. Heureusement voici venir les Ghostbusters ! Que de souvenirs à la vision de ce film...
Spider-man a droit lui aussi à sa version Dark Knight returns : vieux et fatigué, il va devoir se dresser contre le mal dans un monde auquel il n'appartient plus. Déjà vu ? Hélas oui. Dommage, car le rendu a pas mal de caractère.
S’éloignant des grandes envolées, le post-rock de Gregor Samsa fait la part belle aux instruments classiques et privilégie les sonorités, les sensations en développant des atmosphères souvent minimalistes.
Joli jeu sans grande innovation et dont le fond de commerce pourrait fonctionner si ce n'étaient ces défauts trop nombreux et un gameplay fort pénible.
Après la réalisation de la prophétie, l'univers a comme qui dirait été balayé. Dragan Preko, survivant du sinistre, n'est pas trop triste, non... car heureusement il reste plein de super meufs !
Rarement un film aura aussi bien porté son nom, même en VO...
Les quelques belles ambiances sonores et visuelles ne suffisent pas à faire oublier les graphismes inégaux, les énigmes plates, le héros pétochard, le rythme mollasson de l’ensemble.
Poor Boy brouille les pistes avec un songwriting subtil qui refuse les catalogages et nous fait déjà souhaiter la suite !
Après la résolution de l'affaire Wennestrom et la réhabilitation de Mickaël, c'est au tour de Lisbeth d'être en mauvaise posture.