Les insectes se livrent une guerre sans pitié. Et ils ont un sacré stock de capacités dans leur sac. La première étant sans aucun doute de nous faire bien rire avec ce Micro Mutants Evolution.

On avait suivi deux jeunes gens sympathiques dans leurs galères londoniennes, on se retrouve perdu entre l'IRA et le hooliganisme.

Un drôle d'album par un drôle d'oiseau qui navigue sans retenue entre pop-folk délicieusement intimiste et songwriting étrange et métissé. Une bizarrerie à déguster à tête reposée.

Pivot de la trilogie Au cœur de l'empire, cette nouvelle plongée dans le monde créé par Bryan Talbot est riche en surprises narratives et en panache graphique.

Tom Poisson entraîne l’auditeur dans un bal à travers le monde entre Amérique latine, Balkans et un Paris populaire. Portraits sensibles, chanteur précieux..

Une tribu, une île, des statues et des conflits. Un microcosme explosif pour un jeu de stratégie tribal sympathique, sans plus.

Les Musclés n'ont qu'à bien se tenir, dans leur village.

Onze ans avant sa suite, Les randonneurs réunissait une galerie de jeunes acteurs pleins de promesses autour d'un scénario pertinent mais un peu léger. Sympa mais pas culte.

Prenez un récit classique comme l'Illiade. Permettez aux héros, entre deux faits d'armes, de se lâcher à coups de rots et de vents avec leurs sous-fifres, et vous obtenez une fraîche lecture du mythe de Troie.

Dard fils fait-il un Dard-four en reprenant la saga de papa ? Papas vraiment, mais les aventures du commissaire Sana ont quand même fait leur temps, et manquent cruellement de la verve paternelle.

Deux ados partent à la conquête de l'Angleterre et du Rock mais se retrouvent confrontés à la dure réalité de la vie de bohème. Une critique sociale et un agréable souvenir de jeunesse.

Los Angeles est tombé en 2013. New York l'a suivi dans sa chute en 2019. Londres a été décimée en 28 jours. Privée de produits pétrolifères, l'Australie est un chaos sauvage. 2035, voici venir Glasgow et son virus mortel, prêt à jeter la mort sur l'Ecosse toute entière... Y a pas à dire, le futur, ça fait pas envie.

D'un cynisme et d'une violence comme seul Paul Verhoeven sait en injecter dans un film de divertissement, RoboCop eut le malheur de connaître une descendance honteuse. Dans une vidéothèque, on pourra se contenter des deux premiers films.