Les monstres contre la lycéenne. Bah, pour une fois, ça mérite d'être lu car la plongée dans l'horreur se révèle tout à fait prenante et tranchante !
Enregistré dans son home-studio de Stockholm, avec un orchestre caché dans la poche et beaucoup de talent à revendre, Loney, Noir est un moment de grande intimité, à faire partager !
Dutronc, un nom lourd à porter après les icônes que furent le père (Jacques Dutronc) et la mère (Françoise Hardy) de Thomas. Un prénom commun qu'il convient de forger dans ce milieu du spectacle musical. Un avis ici même sur la question.
Toujours aussi dégueu, ce deuxième tome de Titine au bistrot n'épargne pas grand-chose au lecteur en terme de mauvais goût. Si on aime le trash, c'est réussi. Sinon, mieux vaut passer son chemin.
Encensés depuis leur début par Pitchfork, signés sur Warp, amis avec tout les artistes de Brooklyn, les Grizzly Bear sortent en 2007 leur Friend EP, tiroir d'anciens titres, de révisions, de reprises.
Adolf Hitler est un personnage si souvent représenté à l'écran qu'on va finir par croire qu'il a vraiment existé. Comment ça, il a... vous êtes sûrs ?
Patrick Bruel n'a plus le monopole de la formation de Poker en DVD. Isabelle Mercier commence à prendre sa place, forte de sa légitimité acquise au World Poker Tour Ladies Night Out 2004.
Inégal et répétitif de ses précédents projets, l'univers Parisien de Cédric Klapisch séduit par ses dialogues et situations douteuses plus que par sa plastique. Les acteurs magnifient leur environnement. Un excellent spectacle un peu vitrine donc un peu dommage.
La chronique hystérique et subjective de la vie du journal Métal Hurlant, par un de ses artisans les plus étonnants, réinventeur de la ligne claire à la sauce barjote.
Montez à bord de ce train qui les emporte vers ce lieu incertain qu'est la Terre promise. Tremblez de peur et riez aux larmes, devant cette fresque d'une exception rare et d'une finesse inouïe. Peut être au bout du chemin existe-t-il un Paradis... ou un enfer.
Devil May Cry revient d'entre les démons pour une quatrième aventure, la première sur une console Next Gen, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est réussi.
Film traumatisant sur l'amour forcé dans un bordel et ses variantes symboliques. Chef d'œuvre de démonstration humaine et métaphysique entre un chef de gang et celle qu'il a choisi de mettre dans la rue par amour et par défi. Beau et inoubliable.
Un petit plaisir plein de douceur à s'auto-prescrire pour s'isoler, l'espace d'un instant, des innombrables tracas que recèle ce monde de brutes.
Ca bataille ferme dans l'IGPX, les places sont chères parmi l'élite des courses du futur et la ejune équipe Satomi va faire-valoir son va-tout d'entrée afin de défendre chèrement sa peau à plus de 600km/h...
Dans une fable ésotérique aux airs de chant de lune, le réalisateur de Blade II nous démontre son aptitude à réaliser avec virtuosité. Aidé d'un scénario malin et adapté, la lenteur de l'action nous envoûte dans un semi rêve éveillé où le désir des fantômes devient réalité.
Bienvenue à Springfield enfin dans un jeu à la hauteur de nos espérances ou presque. N'attendez plus pour être dans une peau jaune affublé de pouvoirs débiles mais savoureux. Vous en avez rêvé, EA l'a fait.