Les hostilités sportives de la rentrée commencent avec le match d'EA contre 2K. Ici, le terrain est une patinoire. 2K nous a livré une copie loin d'être plaisante. La faute en revient principalement à un jeu très lent et pas glamour.
Torturés, humiliés, mutilés, les trois prisonniers font peine à voir. Le Gouverneur devient de plus en plus sadique et rien ne semble l'arrêter. La détermination de nos héros pourrait sûrement inverser la tendance.
Le concombre a 44 ans ! Lovelace Cucurbite continue sa trajectoire absurde sous l'égide du fan de calembour Mandryka. Mais le surréalisme sur 62 pages, c'est comme l'éternité : un peu long vers la fin.
Quand la Mort veut prendre du recul pour pêcher et qu'il cherche un apprenti, c'est le pantalon du temps qui est décousu.
Fidèle à l'esprit des tomes précédents, ce recueil d'histoires supposées horrifiques se résume encore une fois à de piètres idées illustrées sans joie par des dessinateurs qui valent mieux que ce job d'été.
Lorsque le sentiment qui se dégage est authentique, que l'alliance parfaite du texte et de l'illustration touche son but, on serait bien en peine de reprocher à Mon jardin ce ton légèrement passéiste dans l'air du temps, pour le féliciter plutôt du délicieux dépaysement qu'il nous procure.
Premier contact avec la Rolls des jeux de caisses de la Xboite 360. Une preview écrite le vent dans les cheveux!
Blueberry est toujours jeune, et se coltine cette fois un pasteur maléfique et ses ouailles vindicatives. De la bd bien calibrée, qui occupe efficacement l'espace laissé vacant par Jean Giraud dans la mythologie du héros.
Nouvelle création de Christophe Bec, accompagné d'Iko, dans une veine comics et Heroic Fantasy qui emprunte ses représentations à une foule d'œuvres plus ou moins actuelles.
Princesse Résurrection est symptomatique du shônen fourre-tout destiné à séduire un public amateur d'ambiance gothique... de bas étage.
Deuxième tome de cette série dessinée et scénarisée par Christophe Bec et qui ressemble à s'y méprendre à une série télé américaine.
Motorstorm Arctic Edge, malgré son graphisme bien foutu et son gameplay bien ficelé, laisse de glace. Dommage, pour un jeu où des bolides pètent le feu.