Avatar fait son show au Festival du jeu vidéo. Une grosse attente qui se révèle plutôt décevante, exceptée cette fantastique révolution qu'est la trois dimensions avec lunettes polarisantes.
Deux états pour le prix d'un ! Trois dans le prochain tome ! C'est la grande braderie sur la saga rétro-policière d'Eric Stalner, avec ses imbroglios politiques désuets et ses rebondissements déjà vus.
Ruby a tout pour elle : la beauté, la grâce mais aussi 2 flingues, une épée et une tripotée de tueurs aux fesses. Wet est un jeu champagne où les bulles sont autant de musiques entraînantes que savoureuses. Néanmoins, l'arrière goût est un peu amer car la mise en bouteille est un peu limite.
Une comédie romantique qui se défend d'en être une, et préfère évoquer le caractère potentiellement éphémère des relations amoureuses. Sympathique et léger.
Un compagnon logique du film Watchmen... Reste à avaler le fait que le DVD soit vendu séparément, et ne soit pas inclus tout simplement dans les bonus de l'édition collector et du Blu-ray.
Ce 5ème album est celui qui va opérer un vrai changement dans la série. Le sadisme du Gouverneur (nouveau personnage de l'album) ne sera pas étranger à cette évolution.
Il faut vraiment être un fan d'Halo pour aimer se replonger dans le même univers, sans nouveauté technique ni graphique. ODST reste de bonne facture mais présente les mêmes défauts que son aîné.
Un Japonais part à la conquête de la Corée avec ses propres principes moraux et les grandes lignes d'une ascension vers les sommets. Sun-Ken Rock ne fait pas dans le détail... sauf au niveau dessin.
Mathieu Sapin et Patrick Pion livrent la suite et fin d'une bande dessinée atypique et salvatrice, qui brasse les codes du conte fantastique pour en sortir une dinguerie féroce dont on aurait bien repris une lampée.
On ne présente plus les Beatles ni Rock Band. L'alliance de ces 2 monstres sacrés nous donne une bonne tranche de plaisir. Jamais l'ambiance des concerts n'a semblé aussi vive, électrisante et... dans le vent.
De la fraîcheur presque pas rengaine cette fois, avec des cinématiques funky et un très bel habillage qui change des précédents épisodes de la série... un peu. Du bonheur sans équivoque.
Le monde tremble sur ses fondations, car voici venir Eskarina, huitième fille d'un huitième fils, et donc mage au féminin (il n'y a normalement pas de magicienne sur le Disque-Monde).
Nouvelle série fantastico-ésotérico-médiévale, Missi Dominici vous entraîne sur les traces d'un enfant aux pouvoirs bien étranges...
Un film intelligent sur l'alcoolisme qui prend le parti de ne pas stigmatiser les buveurs. On n'est pas sûr que les personnages s'en sortiront, mais les acteurs, eux, arrivent à donner une image plausible de l'affaire.
Sur un principe rappelant Le nom de la rose, Guérin et Lacaf utilisent le Mont-Saint-Michel comme toile de fond d'une opposition entre christianisme et paganisme.
Ouvrage à la fois poétique et instaurant des pistes de réflexion sur la construction de notre propre identité, Tête en l'air se destine à des enfants en âge de comprendre le concept même de libre arbitre, de conformisme, d'intégration... même sans y mettre de mots, bien sûr.