Kilø lâche les chiens et en profite pour te mettre un grand high-kick dans ta face. Un bon coup de pied dans la fourmillière de la musique en France.
Un bon jeu qui fait rêver, mais à vouloir trop en proposer au joueur sans fignoler les détails il le déçoit. On aurait pu avoir là un très très bon soft. C'est dommage donc, mais ça s'apprécie quand même avec délectation pour des raisons tout aussi nombreuses.
Jimmy Palmiotti et Justin Gray, artisans du renouveau de Jonah Hex, signent ici le scénario d'une mini-série consacrée à Superman et à sa cousine kryptonienne. Probablement une œuvre de commande, à en juger par le résultat inepte et puéril, aussi mal écrit qu'ennuyeux à contempler.
Lost, c'est fini. Koub, un lecteur de Krinein, nous propose son analyse complète d'une série truffée de qualités et d'incohérences (deuxième partie).
A l'occasion d'un passage à Paris, nous avons pu faire connaissance avec Duke Nukem dans sa version Forever, et oui, enfin !
Alors au programme, strip-teaseuses et pissotières, ou le Duke s'est-il assagi ?
Sur un thème somme toute classique venant de chez Soleil, on assiste ici à un assez bon travail d'exposition d'une mythologie, servie par une illustration étonnante d'inspiration et de familiarité.
Beau jouet technique qui possède ses défauts, notamment un peu cher en investissement et pas encore prêt pour avoir sa place dans un salon 100% familial. Mais précis, pointu et agréable. Un beau geste bien rond et apprécié. A suivre de près.
Malgré une pochette assez hideuse, Juliette Lewis tient fermement le taureau du rock par les cornes et redécouvre une terre musicale pas si inconnue que cela.
Lost, c'est fini. Koub, un lecteur de Krinein, nous propose son analyse complète d'une série truffée de qualités et d'incohérences (première partie).
Si vous avez besoin d'un bol d'air frais et que vous trouvez les comics parfois trop sérieux, alors cet album est pour vous ! Blagues sous la ceinture et situations abracadabrantes au rendez-vous !
C'est beau, c'est long à souhait, ça se rejoue sans fin comme un rêve dont on n'a pas envie de se réveiller. Un peu moins mature que son aîné dans le traitement mais diablement efficace. Du tactical RPG comme s'il en pleuvait... Merci Sega.
Les auteurs étaient visiblement plus à l'aise avec la première partie, consacrée à l'exposition de l'intrigue, qu'avec ce deuxième cycle dédié à la vengeance du héros. Mais il reste encore (au moins) un tome pour boucler l'histoire.