Un album magnifique dans un Japon médiéval et onirique où chacun cherche sa voie, sa vérité, son trait parfait...
Jeu très sympa et qui sait proposer un univers onirique attrayant, Axel et Pixel est un joyeux point and click qui saura vous faire rêver pour Noël.
Une adaptation très réussie, parfaitement calée sur l'ambiance des films, qui pèche un peu du côté technique. Mais le plaisir est là !
(Pack à protons inside)
Suite de l'enquête du jeune roi lépreux de Jérusalem sur de mystérieuses disparitions, qui ne perd pas une once d'intérêt grâce à l'admirable trio d'auteurs.
Comme un roc, ensemble comme un roc, Johnny Halliday aurait chanté "Rock'n'roll attitude" après avoir dévoré ce nouveau roman de Terry Pratchett.
Même s'il a renié ce premier film, David Fincher a réalisé le meilleur épisode de la saga Alien où s'entrecroisent religion, féminité et bestialité violente.
L'album semble bel et bien avoir fait l'objet d'une malédiction, mais il tire correctement son épingle du jeu, pour peu qu'on préfère Mortimer à Blake et qu'on ne soit pas trop regardant sur l'originalité des péripéties.
Sortie en DVD le 25 novembre dernier, la série True Blood nous présente son univers anti-Twilight à travers une mode vampirique des plus persistantes.
Avant Avatar, James Cameron s'était évadé dans l'espace avec Aliens, la suite du film de Ridley Scott, pour un film essentiel tout en étant décevant.
La vie d'un ado de base à l'usage de tous ceux, et nous les savons nombreux, qui rêvent de leur faire bouffer leurs portables et/ou de leur apprendre l'orthographe.
Première présentation "claque dans la gueule" de ce qui s'annonce sans conteste comme un des meilleurs jeu de l'année 2010. Définitivement une bombe qu'on attend de pied ferme !
Un jeu de plus à oublier sur sa Wii préférée. Fade, mal foutu, sans réelle qualité, ce titre est à laisser aux oubliettes du château. Foi de preu chevalier !
Galopin ou détective en herbe, aventurier solitaire puis accompagné d'un Razibus noir que ne dictait aucune politique de quota, Bibi Fricotin a marqué l'histoire de la bande dessinée.
Moins violent mais plus tourmenté, le nouveau Raoul Sinier se prend en pleine gueule, assaut constant de machines torturées et mélodies calcinées.