





Critique des tomes 1 et 2 : quand on parcourt ces deux premiers tomes, on saisit un univers tellement vif et riche que l'on a l'impression que Mosdi et Béhé ne pourront abattre toutes leurs cartes qu'en de nombreux albums.











Critique des tomes 5 et 6 : Imago Mundi, c'est une série qui relève d'un genre que beaucoup appellent dédaigneusement « le divertissement ». Une « bonne distraction ».






Une BD à atmosphère, un noir et blanc impressionnant, et ce malgré un final décevant

