Devil May Cry revient d'entre les démons pour une quatrième aventure, la première sur une console Next Gen, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est réussi.
Film traumatisant sur l'amour forcé dans un bordel et ses variantes symboliques. Chef d'œuvre de démonstration humaine et métaphysique entre un chef de gang et celle qu'il a choisi de mettre dans la rue par amour et par défi. Beau et inoubliable.
Un petit plaisir plein de douceur à s'auto-prescrire pour s'isoler, l'espace d'un instant, des innombrables tracas que recèle ce monde de brutes.
Ca bataille ferme dans l'IGPX, les places sont chères parmi l'élite des courses du futur et la ejune équipe Satomi va faire-valoir son va-tout d'entrée afin de défendre chèrement sa peau à plus de 600km/h...
Dans une fable ésotérique aux airs de chant de lune, le réalisateur de Blade II nous démontre son aptitude à réaliser avec virtuosité. Aidé d'un scénario malin et adapté, la lenteur de l'action nous envoûte dans un semi rêve éveillé où le désir des fantômes devient réalité.
Bienvenue à Springfield enfin dans un jeu à la hauteur de nos espérances ou presque. N'attendez plus pour être dans une peau jaune affublé de pouvoirs débiles mais savoureux. Vous en avez rêvé, EA l'a fait.
Plan Your Escape poursuit sa quête vers la Lune… Une pop fluide dont les harmonies vocales vous baignent dans un halo de lumière. L'un des albums pop de l'année !
Le film, le manga, le roman... Février 2008 serait-il le débarquement en force de Brave Story chez nous ?
Un album écorché, un songwriting à vif, teigneux, mais qui malgré les respirations manque parfois un peu de délicatesse.
Une bande dessinée qui n'a de série B que l'apparence. Sous les clichés assumés se cache une intrigue bien ficelée servie par des dessins et une mise en page irréprochable.
Comparatif du Limier de Joseph L. Mankiewicz et de son remake par Kenneth Branagh sorti confidentiellement cette semaine.
Girls In Hawaii sort Plan Your Escape qui poursuit la belle l’aventure musicale entamée, il y a déjà plus de quatre ans. Nous avions la chance d’être les premiers à ouvrir le bal de la semaine promo du groupe à Paris.
Phénomène de mode en 1975, Les dents de la mer apparaît avec le recul comme un film assez mineur dans la filmographie de Spielberg. Historique, mais mineur.
Polar au soleil, omerta sur la canebière et féminisme en demi-teinte : Abigaël Martini n'est pas une œuvre radine.
Creux, mal joué, incohérent et dénué d'intérêt. Les mots manquent pour qualifier cette série.