Beau jouet technique qui possède ses défauts, notamment un peu cher en investissement et pas encore prêt pour avoir sa place dans un salon 100% familial. Mais précis, pointu et agréable. Un beau geste bien rond et apprécié. A suivre de près.
Malgré une pochette assez hideuse, Juliette Lewis tient fermement le taureau du rock par les cornes et redécouvre une terre musicale pas si inconnue que cela.
Lost, c'est fini. Koub, un lecteur de Krinein, nous propose son analyse complète d'une série truffée de qualités et d'incohérences (première partie).
Si vous avez besoin d'un bol d'air frais et que vous trouvez les comics parfois trop sérieux, alors cet album est pour vous ! Blagues sous la ceinture et situations abracadabrantes au rendez-vous !
C'est beau, c'est long à souhait, ça se rejoue sans fin comme un rêve dont on n'a pas envie de se réveiller. Un peu moins mature que son aîné dans le traitement mais diablement efficace. Du tactical RPG comme s'il en pleuvait... Merci Sega.
Les auteurs étaient visiblement plus à l'aise avec la première partie, consacrée à l'exposition de l'intrigue, qu'avec ce deuxième cycle dédié à la vengeance du héros. Mais il reste encore (au moins) un tome pour boucler l'histoire.
L'empereur Renzong a fâché la divinité Ying Long en lui piquant son phénix. Va falloir régler ça très vite, car Ying Long est furax et c'est le peuple qui trinque.
Un opus très bien revu et corrigé par rapport à l'édition 2008 et ce à de nombreux points de vue. Aussi bien complément qu'alternative à la version Wii, il mérite une place de choix dans la ludothèque DS.
Nävis participe à un cannonball pour sauver son avocat. Mais, comme toujours depuis un certain temps, elle se fait manipuler par un tiers. Morvan se fait un malin plaisir à compliquer son intrigue, quitte à nous faire perdre le fil.
L'enlèvement de l'homme politique anti-flamand, José Van de Coo, est très préoccupant pour les autorités politiques qui veulent éviter un conflit entre wallon et flamand. Mais cet enlèvement ne serait-il pas tout simplement crapuleux ?
Un album explosif comme une bière qu'on aurait secoué trop près d'une enceinte. Et si finalement faire des mélanges ne se terminait pas forcément dans la cuvette des toilettes ?