Un an après, la boucherie Arawn rouvre et fait toujours des prix de gros et de groupe, sur de la bidoche de qualité, grâce au travail en laboratoire de Le Breton et Grenier.
Un bel homme, le corps saillant et des bandelettes comme unique costume de scène, ça vous tente? Il y a aussi de belles femmes et beaucoup d'autres surprises dans Marco Polo, le nouveau spectacle de Marie-Claude Pietragalla et sa compagnie...
Lefred-Thouron et Diego Aranega continuent d'arpenter les couloirs des tribunaux, en y glanant de multiples anecdotes à l'impact comique variable.
Suite à la conclusion du premier acte de Paradis Perdu, le couple ANGE revient avec un psaume 2, servi par des nouveaux personnages et un nouveau dessinateur.
Fin de ce récit d'espionnage médiéval mâtiné d'un zeste de fantastique. Rien de révolutionnaire, mais la narration un peu facile de Corbeyran est rehaussée par l'art au poil de Grun.
Excellent portage qui tient certes de l'excellente qualité du jeu d'origine mais aussi de l'utilisation de la wiimote qui rend le tennis particulièrement fun, surtout à plusieurs.
Une adaptation ultra-fidèle mais purement décorative de la bande dessinée culte d'Alan Moore et Dave Gibbons. Zack Snyder est un formaliste, et son film est un morceau de pop-culture curieusement original et divertissant. Pari réussi ? Pas si sûr.
Leo continue d'exploiter le filon des mondes d'Aldébaran, dont les albums se vendent toujours aussi bien. Celui-ci est le douzième volet des tribulations de Kim et Marc. Et la saga fête ses quinze ans.
Un jeu qui suscite la curiosité tant par son esthétisme futuriste que son principe très innovant et ses feux d'artifices ultra-colorés.
Poursuivant le très bon travail du tome 1, les auteurs produisent un nouvel album d'une très bonne tenue, et malgré le peu de révélations, on en veut encore et encore.
Bien, mais pas encore top. On note toutefois de gros efforts de léchage de graphisme et un bestiaire de 35 personnages qui suffit à lui seul à vous décider entre les deux versions disponibles : la petite ou bien la grosse révolution.
Une historiette d'amour en vue subjective. Tout simple et touchant, dans un style expérimental mais jamais prétentieux. Bastien Vivès a encore frappé.
Brent Weeks fait son best seller en version originale. Traduit chez Bragelonne, la trilogie de la voie des ombres mérite le détour, tout en nous laissant un peu sur la réserve.
Neuf et inventif malgré des repères graphiques très anciens, cet album manque néanmoins son but en tant qu'objet littéraire, pour ne satisfaire qu'à la promotion du film dont il est tiré.