Deuxième et dernier téléfilm ? Rien n'est moins sûr, les ventes de l'Arche de Vérité et de celui-ci étant assez satisfaisantes pour motiver les producteurs...
Idem revient avec un nouvel album cathédrale, noyé sous les saturations électroniques et les guitares noisy. Grosse réussite.
Un nouveau STR sur la seconde guerre mondiale, qui a au moins l'originalité de pouvoir nous mettre dans la peau d'Hitler. De là à le faire gagner...
Avec un titre pareil, on pouvait craindre un simple album d'images (ou même d'autocollants, si on considère que l'éditeur est Panini). Il n'en est rien : Vignettes est un recueil de courtes histoires intimistes écrites par l'emblématique Chris Claremont et dessinées par l'atypique John Bolton. Un régal.
L'heure du combat a sonné !
Les gants sont prêts et les concurrents vont mordre la poussière ! Facebreaker rencontre Canette Ultra.
&, le dernier album d'Astrïd nous plongent au coeur des rêveries de Cyril Secq et de ses compagnons. Une interview automatique semblait nécessaire...
Les femmes quinquagénaires et la prostitution masculine... Josiane Balasko effleure son sujet, oublie d'être drôle ou émouvante et plie bagage. Au suivant !
C'est une fois encore avec un fol espoir que les fidèles ouvriront, tremblant, ce 75e Ric Hochet. Mais ils seront vite déçus : il s'habille toujours pareil.
Pop de chambre se dévoile comme une petite chose charmante, un peu désuète mais à laquelle on accroche toujours. Un EP tasty !
Un titre chinois sur l'évolution d'une jeune fille à travers ses années de lycée. Pas folichon.
Ballades tranquilles, une voix légère qui sans prétention s’installe dans votre quotidien, intime de fait, quelques notes tranquilles à l’oreille et puis s’en vont…
Version BD du film de Barbet Schroeder sorti en début de mois. Une photocopie plus qu'une adaptation, dont on peut mettre en question la raison d'être...
Aussi vrai et décapant qu'EBA !
Echidna propose de lentes évolutions entre la douceur apaisée des instruments acoustiques avec les sonorités parfois dissonantes, insufflées par l’électronique.
Un direct-to-video réalisé par le scénariste de la saga : cheap et imparfait, mais largement supérieur à la première suite, le film renoue avec l'esprit satirique de la version Verhoeven.
Titre très attendu, peut être un peu trop, frileux sur l'autodérision d'un scénario redondant, et assez linéaire. Oubliez de mettre vos gants, ce n'est que du fun et de la destruction.