Troy et Gabriella se pixellisent pour vous remuer les bras. A l'image du film dont il est inspiré, le jeu s'adresse à une certaine catégorie de personnes et ne fera pas l'unanimité...
Adapté du livre de Jean-Pierre Guéno par Serge Le Tendre, Paroles d'étoiles illustre la vie de 7 enfants juifs cachés pendant la seconde guerre mondiale, et parfois même après.
Les débuts passionnants d'une excellente saga. Le dernier homme promène son chromosome Y sur une Terre de femmes, à la recherche de la sienne. Une série pleine de surprises.
Rira bien qui rira le dernier ! n’oublie pas d’en mettre plein la vue avec seulement trois bouts de ficelles, quelques collages de textures et un peu de modelage.
Quatrième parution de la collection Hanté, dirigée par Christophe Bec, Loudun se penche sur un événement historique, mais n'oublie pas de se cacher sous un drap blanc, avec des trous pour les yeux.
Trois Coréens se courent après dans l'est sauvage. L'un est bon, l'autre est une brute, et le dernier est cinglé. Un film forcément barré, et loin d'être parodique...
A la fin des années 50, Greg arrive en renfort sur le scénario de Spirou. Le futur papa d'Achille Talon apporte sa verve à une série qui tenait déjà la grande forme. Ne manque que la présence de Roba... ah non tiens, il est là aussi.
Un premier album prometteur pour Jenny in cage. Solid liquid ether est un très bon skeud d'un rock mélancolique et sans espoir.
Le troisième volet de la saga se concentre enfin sur sa genèse, éclaircissant d'un seul coup tout le propos des auteurs. Il était temps.
Laurent flingue la télé, en musique, avec le Big band de Fred Manoukian. Personnellement, je ne connais pas de Big Band et je chante très mal, alors je flingue Laurent Gerra avec mon clavier.
Le Spirit de Will Eisner trouve une nouvelle jeunesse sous l'impulsion de Darwyn Cooke. Frais et bien écrit, ce deuxième tome contient même un quart dédié à quelques auteurs invités.
A coeur vaillant rien n'est impossible. A Lionheart, la vengeance l'est encore moins. L'un des films les plus savoureux de Vincent Price, dont la critique n'a pas été écrite sous la menace...
Sleep dealer nous entraîne dans un monde futuriste où les enjeux de société ont sombrés dans une obscurité peu rassurante.
Etienne Chatiliez étire laborieusement une seule (mauvaise) idée sur près de deux heures, en usant d'odieux intermèdes chantés pour combler la vacuité du film. Valérie Lemercier est en forme, merci pour elle.