Tarantino dézingue du nazi au kilomètre, sur fond d'Ennio Morricone et de cinéphilie enjouée. Allergiques s'abstenir, mais les amateurs de Kill Bill seront comblés.
Toute nouvelle équipe en provenance de Florence, les quatre auteurs délivrent ici, sur une base très moderne, une œuvre d'heroic fantasy surprenante et poignante.
Quinze ans plus tard, Baby Blood revient ! Si ! Ce Lady Blood s'avère une suite directe où Emmanuelle Escourrou reprend du service.
Une histoire de réalité parallèle proposée par le vétéran Makyo et le nouveau venu Jerry. Un amuse-bouche engageant mais trop court, qui se contente de mettre les pions en place.
The Secrets of Me alterne les ambiances riches faisant de ce premier essai, un album des plus recommandables dont le principal défaut reste sa durée...
Les frères Larrieu présentent la fin du monde sous l'angle de vue de Robinson, naufragé au coeur d'une tourmente qui l'intéresse peu, mais le fait voyager.
Ce premier tome propose une collaboration, peut-être pas encore aboutie, mais certainement prometteuse entre Brice Cossu et SAND, sur une histoire mitigée dont la forme montre plus d'originalité que le fond.
S'il fallait un symbole au cinéma de Tarantino, ce serait Pulp Fiction. S'il fallait un hommage à la culture américaine, ce serait aussi Pulp Fiction.
Une histoire de gangsters assez banale devient sous la caméra de Tarantino et une tripotée d'acteurs géniaux d'une tension incroyable.
Ce premier tome semble relater une époque que l'on ne retrouvera pas dans la suite. Ainsi, contraint par son sujet, la narration est dynamique et cette énième histoire arthurienne passe plutôt bien.
Cathala dessine en compagnie de ses camarades des constructions attrayantes, saupoudrées de thèmes souvent surprenant qui jouent sur les asymétries.
Du Jack Black typique, avec de l'organe génital à tout va et un gros grain planté au milieu du crâne. Inégal, et décevant.
Malgré les apparences, ce film initié par Djamel Bensalah ne joue pas la carte de la provoc mais celle de l'humour tendre et pacifiant, qui fonctionne plutôt bien grâce à un casting sympathique.
En refermant ce deuxième volume de la trilogie, l'idée d'avoir fait du sur-place ne nous effleure pourtant pas une seconde, puisque nous avons partagé un nouveau point de vue, tout aussi immersif.
Soixante minutes d'agressions intenses créées par les machines décadentes du Suédois qui happent l'auditeur dans un univers qui rend sale et honteux.
La trois dimensions appliquée à un documentaire sous-marin, voilà de quoi satisfaire les observateurs les plus exigeants. Niveau connaissance, on repassera.