Nuits blanches est un album sensible et parfaitement maîtrisé sur le thème du départ de l'homme à la guerre, traité sous le prisme du souvenir et de l'onirisme.
Les éditions Dargaud sont à féliciter. Après L'ours et le petit garçon, album muet pour la jeunesse, ce gros éditeur, l'un des seuls à oser, publie une autre oeuvre d'envergure, qu'on aurait trop tendance à parquer dans le cloître réservé de l'expérimentation... Bravo !
Les lecteurs à la recherche d'un récit type policier/action bien rythmé pourront trouver satisfaction.
Heureux les nostalgiques, les enfants de Spirou et autres bédéphiles quinquagénaires, les sentiers du souvenir vous sont ouverts. Aux autres, un oeil hagard lancé sur ce passé ne fera pas de mal à votre culture générale.
Critique des tomes 9 et 10 : le moins que l'on puisse dire, c'est qu'Imago Mundi reste fidèle à lui-même, tenant bon la recette de l'action scientifique.
On perd de plus en plus espoir de constater une embellie du côté de cette nouvelle série des Humanos. On attendait quelque chose de moins superficiel et juvénile de la part de cette maison...
Your heart goes pop
Booking Life donne une seule envie : prendre sa carte de donneur (si ce n'est pas déjà le cas). Pour le reste, on est certain d'apprendre pas mal d'éléments médicaux intéressants à travers une lecteur sans finesse mais efficace
Hvorfor flygte fra det du ved du ikke kan flygte fra ?
La nouvelle fresque de Zhang Yimou
Jason goes to hell
Cécile Corbel réalise un album qui plaira sans doute aux adeptes de variété celtisante type The Corrs, dommage car on sent bien que s'y cache quelque chose de précieux.