Quel meilleur ton adopter que celui de l'absurde pour parler avec humour de l'administration ? Du papier faisant table rase ne décevra pas les fans du duo Chauzy/Jonquet, tout du moins pas ceux sensibles à l'humour absurde et déjanté.
Les fantômes de Hanoï, c'est donc un album tout aussi réussi graphiquement qu'il est décevant narrativement. Les planches sont belles à regarder, mais fatigantes à lire, pour résumer grossièrement.
Critique des épisodes 1 à 6 de la première saison de Masters of Horror
Dans son royaume inconnu, Gábor Gadó joue avec les systèmes établis, tente de déranger, mais séduit.
Pour son premier album chez Rune Grammophon, Food franchit une nouvelle étape dans ses pérégrinations sonores, offrant l'ingrédient essentiel au plaisir.
Sublimée par ces interprètes, son oeuvre sombre et pourtant lumineuse devrait trouver la place qui doit être sienne au Panthéon des compositeurs contemporains...
C'est con...
Un rêve ? Nul ne sait, mais vous entrez dans un sanctuaire où les clefs de la compréhension n'existent pas, seules les sensations demeurent.
Le dialogue est intimiste et serein, une discussion à l'écart de la foule et des regards, afin de sublimer la musicalité de cette rencontre.
« Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie »
Bientôt dans les salles : 300, adaptation de la bande dessinée de Frank Miller
Les gags inégaux et le début de l'album en dents de scie s'oublient devant la performance d'un d'humour particulièrement difficile à manier, pratiqué sans grandes fulgurances, mais sans grandes faiblesses non plus depuis l'exploitation du personnage.
Réaliser ce type d'album pour parler aux jeunes de Jean Monnet, c'est identique à parler comme un vieux sourd gâteux lorsque l'on s'adresse à un enfant. C'est mal connaître et préjuger de celui à qui on parle, en plus de se ridiculiser soi même.