L’esprit dans du coton. Tout est un peu flou dans ce voyage. Une douceur pesante qui laisse la mort venir à nous, comme une fatalité. Intime. Fragile.
George Clooney scénariste, acteur et réalisateur vous invite au coeur des années 20, où son cœur balance entre celui d'une belle et un terrain de foot. Jazzy et pétillant.
Les morceaux alternent alors entre virilité dramatique et des instants plus atmosphériques voire romantiques. Le mal exprimé est alors une véritable machine de guerre...
Spin-off de Imago Mundi, dans la même veine mais en quatre tomes. On peut l’éviter, même si on aime les pingouins et la planète.
Interview de Cyril Pedrosa le 25 avril 2008
Simple, chaleureux, un peu nostalgique, le songwriting folk de H-Burns est intime et chargé d’émotions, offrant alors à nos oreilles un album précieux.
A partir de ce tome, les auteurs vont-ils désormais se focaliser sur le devenir des personnages, ou profiter du changement de direction pour creuser davantage l'univers spacio-politique ?
Stargate nous fait son Indiana Jones.
Mais quelles sont ces sphères qui soutiennent cette satanée histoire ?
Si on ne s’étonnera pas de la puissance des guitares aux frontières du death et du black metal, c’est avant tout l’orchestration qui impressionne. Septicflesh réalise son album le plus noir et le plus lumineux
Des ados nippons en proie au mal de vivre dans un contexte dans lequel les adultes n'existent pas ou peu. Une chronique des vices et de la violence en sept portraits intitulé River's Edge.
Un polar à l'ancienne, avec intrigue à tiroirs et casting de stars. Sans être à proprement parler génial, c'est mieux que ça en a l'air.
Vous adorez quand des voyous se tapent desus ? Après un manga qui a connu un certain succès auprès de la jeunesse japonaise, Tokyo Tribe 2 s'anime. Mais le résultat en est-il meilleur pour autant ?
Premières impressions sur Rise of the Argonauts, le jeu de rôle / action nous emmenant, aux côtés de Jason, à la recherche de la toison d'or.
Des ténèbres émergent les lamentations d’un monde en ruines, les sons d’une vie industrielle effacée, engloutie, qui se tordent, se déforment au gré des manipulations sonores…
Laurent Astier, seul maître à bord, continue sur sa lancée cette belle réussite appelée Cellule Poison. Les fans de polar ancrés dans l'actualité apprécieront, malgré quelques facilités.
Film maîtrisé et intense dont la chaleur corporelle dégage les envies les plus froides et les désirs les plus morbides, définissant un univers possible pour toute âme qui aurait pu sombrer. Un travail d'orfèvre à regarder et à écouter, une pause dans un contretemps incertain entre deux battements de coeur.