Quand des pinceaux aussi virtuoses rencontrent une plume si attentionnée, il ne peut résulter de ce genre de fusion artistique qu’une composition globalement remarquable.
Sur le plus odorant des fumiers peut toujours pousser une rose. C'est ainsi que dans l'univers consternant d'une sitcom pourrie est né un personnage-culte poilu et rigolard dont on aime à imiter aujourd'hui encore la diction fascinante. « J'ai mangé un chaat !... »
Film beau et violent comme ne savent le faire que très peu de réalisateurs. Paul Verhoeven est ici pionnier de son propre genre et découvre ses trouvailles visuelles et son travail avant même d'inspirer son cinéma. Une œuvre sincère et bouleversante.
A première vue, ça a l'air complètement naze. En vrai, c'est bien. La vie nous réserve parfois des surprises, figurez-vous.
Agatha Christie à la française, c'est un peu comme en anglais mais sans Poirot. Sans être confondant d'originalité, c'est un honnête divertissement avec de bons acteurs.
Artefacts ravira les amateurs d'electro-rock peu avares en montées et explosions extatiques. Du tout bon !
Jesse James, ce n'est pas seulement Brad Pitt. C'est une icône de la culture américaine, un hors-la-loi dont la légende a inspiré les variations les plus farfelues en marge des quelques œuvres sérieuses consacrées à sa vie.
Un recueil d'histoires courtes réaliste signé par un mangaka plutôt habitué à la science-fiction.
« Note pour plus tard : rédiger une critique de Parker Lewis ne perd jamais » On savait que le post-it collé sur le frigo de la rédac' servirait un jour à quelque chose.
Du rock new-yorkais sur lequel il faut se précipiter. Retour en force d'un groupe qui ne demande qu'à prêter une oreilles attentive.
Une comédie romantique juste amusante. Rien de plus a priori. Par l'auteur de Midori Days.
C'est l'histoire d'un tout petit disque porté par un interprète de talent nommé Mathieu Vermeulen. En l'espace de douze titres, le voici qui nous embarque aux quatre coins du monde dans des contes tout en finesse.
Au bout de quinze ans d'existence, le personnage de Tony Stark est enfin confronté à un adversaire digne de ce nom : son mini-bar. Ou plus exactement (il est milliardaire) son maxi-bar.
Film ambigu et savoureux, mélant angoisse et charme dans une intrigue simple mettant en scène des personnages tordus. La peur de la vie est égale à la peur de la mort et chaque jour l'un ou l'autre arrive. Une oeuvre sensible et angoissante sur les choses qu'on ne comprend pas même au cinéma.
Une bande-dessinée historique, à la fois dans son propos et pour son importance dans l'histoire du neuvième art. Epique, grandiose, romanesque, haletant... bref : un chef d'oeuvre.
L'étau se resserre dans ce deuxième tome. Bons sentiments et clichés sont de la partie, mais la série a un bon fond, et peut s'envoler dans le troisième opus.
Les Muppets sans le côté people... Fraggle rock était LE show musical pour enfants des années 80. Jim Henson était un boss.