Monsieur Crocodile a un problème. Il a toujours faim. La vie dans la jungle étant malheureusement un peu trop difficile, il décide de se rendre en ville. La nourriture est à portée de ses petits bras.
Suite et fin du diptyque commencé dans l'album 11, où Larry découvre que son père a fait l'objet d'un contrat pour l'éliminer. C'est un bouleversement pour Larry : son père ne serait pas un sale type.
Très beau spectacle qui propose une histoire bien mieux écrite que le troisième épisode. Le tout est appuyé par une réalisation excellente et surtout une vraie 3D utile. Toujours un divertissement mais de très bonne qualité.
En 1964, cinq parrains se font voler leurs petites économies. Quelques années plus tard, une information leur parvient : un dénommé Soul man serait le voleur. Il y a cependant un problème. Il est emprisonné à vie.
Sur un postulat de départ assez original, les auteurs de cette BD développent une tranche de vie parlante et sensible.
Un magnifique conte pour enfants sur le thème de la poursuite de ses propres rêves...
Après l'album Shinshoku Dolce qui l'avait révélée sur la scène internationale il y a un an, Wakeshima Kanon transforme l'essai dans un style toujours aussi inspiré.
Deuxième année du Jonah Hex scénarisé par Gray & Palmiotti. Le cowboy défiguré reste l'objet de belles envolées graphiques, mais les scénarios faiblissent beaucoup au-delà de l'histoire des origines.
Chanson française sur histoire cocasse, un mélange connu mais qui demande beaucoup de talent, sous peine d'être juste passable.
Un shôjo manga pour petites filles. C'est mignon tout plein mais c'est creux...
Les tranches de vie d'une équipe de football en construction entre baston et ballon rond...
Une nouvelle histoire commence pour le trompettiste le plus séduisant d'El Raval... Le duo Raule & Roger a le bon goût de prolonger cette saga stylée, à l'ambiance glauque et aux personnages bien brossés (au sens figuré, parce qu'au sens propre...).
Deux jeux pour le prix d'un et même un dessin animé à débloquer pour les fans, tels sont les ingrédients de ce Final Fight Double Impact qui vous propose Magic Sword et Final Fight afin d'évacuer comme il se doit le stress de la vie quotidienne.
Un film fourre-tout qui ne choisit pas forcément de chemin clair. Entre hommage aux films d'action des 90's et salut irrévérencieux aux buddy movies. Le plus étonnant reste que cela fonctionne quand même pas mal. A voir pour se détendre, mais ça donne surtout envie de se refaire L'Arme Fatale.