Le baron (de) Münchhausen (avec un h ou deux, avec ou sans accent), bien qu'ayant vraiment existé, s'est rapidement confondu avec son alter-ego le baron de Crac, voyageur fantasque en perpétuelle vadrouille entre Saint-Pétersbourg, la Turquie et la Lune.
La magie d'Olive-Oued envahit le cœur du brave Victor Tugelbend. Délaissant ses études lucratives, il part à l'assaut du rêve morporkien, un rêve de trolls et de princesses à sauver.
Un petit Jeunet, qui recycle un peu poussivement les univers de ses films précédents pour étoffer une charge assez primaire contre les marchands d'armes. Les idées bouillonnent, mais n'ont pas grand-chose à cuire.
Avec cette Eco : La Malédiction des Schaklebott, nous refermons un premier recueil de la trilogie vraiment fascinant, regroupant une histoire à la fois référencée, classique et symbolique, et une iconographie aussi singulière qu'hypnotisante.
Terreur est un album aux dessins magnifiques, servant hélas une intrigue qui l'est nettement moins. Même pas peur !
Après une collaboration somme toute assez médiocre, ce trio d'auteurs repart d'un bon pied sur une histoire sensiblement équivalente, pour un résultat bien plus encourageant.
Le conte de fée vire au gore à grands coups de tatane. Du old school remis au goût du jour qui laissera le joueur un peu ennuyé, voire carrément furax de se répéter autant.
Turzi nous balance avec brio un deuxième album baladé loin des chemins battus, entre une électro-rock burnée et un krautrock bienvenu.
L'alternative de Namco Bandai à Wii Fit revient nous faire suer avec son tapis fléché.
Un party-game de plus pour la boîte blanche de big N, hélas sans aucun intérêt, même pas celui d'amuser trois minutes un gamin élevé au Télétubbies !
Un titre prometteur qui ne parvient pas à conclure. L'ambition affichée est noble mais la technique vient plomber le titre avec une gestion de la neige limite et des graphismes tout juste moyens.
Un film si exceptionnel qu'il donna son nom à un pays, une chanson et un magazine. Comment ça, pas tout à fait ?... Laissez-nous rêver, avec l'aide du cynisme riant (ou de l'optimisme grinçant) de Terry Gilliam.
L’arsenal loufoque mais puissant qui a fait la réussite du premier tome a été naturellement remis sur le tapis dans ce dernier.
Patar et Aubier réussissent à exporter leur univers décalé sur grand écran. Coboy, Indien, Cheval vous attendent. Allez-y vite !