Le Madden NFL cuvée 2010. Beau, réaliste, festif et même accessible aux débutants.
Dionysos mange une double galette de musique et si la première est un délice, la deuxième a un arrière-goût moins agréable.
Cette série dont le titre pourrait ne pas s'appliquer aux seuls sous-marins, nous donne en guise de tome 1 une tranche de vie allemande, de juillet à septembre 1939.
Un remake du dessin animé Daisy Town, réalisé comme une suite poussive de Mon nom est Personne. Terence Hill acteur s'autoparodie, et Terence Hill réalisateur réédite l'échec de Don Camillo.
Un album simple et plutôt imagé se referme entre nos mains avec cette bien curieuse L'Ebouriffée. Pas de quoi s'arracher les cheveux, ni se faire des cheveux blancs, juste partir à l'aventure, vers l'Autre, cheveux aux vents.
La guerre entre Rick et le Gouverneur va faire rage dans cet album où les têtes vont tomber. On sent que les zombies vont apprécier la fête.
Les fatalistes trouveront normal que Risen, malgré sa liberté de choix, reste assez guidé. Les autres seront certainement heureux de ne pas céder au côté obscur. A moins que ?
La dernière histoire de Blake et Mortimer, celle de Barbe-Rouge, des Pieds Nickelés et de Johan et Pirlouit : c'est avec un regard attendri et respectueux que Convard et Juillard racontaient en 1998-99 ces derniers tours de piste.
Une fan rencontre son idole... ça suffit pour en faire un shôjo.
Pratchett est décidément une bonne poire secouée. Il le prouve en détournant Shakespeare. Pour notre plus grand bonheur.
Patar, Aubier et Tavier livrent avec cette BD une adaptation plutôt réussie de leur série animée culte. En attendant le film...
Une très bonne histoire de pirates avec tous les codes qui font rêver quand on est enfant, et peur quand on est assez vieux pour en comprendre l'essence.
Une journée au zoo made in Korea. Destiné aux tout petits.
Un film très vivant et parfois très beau qui se repose un peu trop sur le politiquement correct et le jeu des tiroirs à ingrédients hollywoodiens. On perd de ce fait beaucoup d'intensité et de saveur. Une bonne comédie... très musicale.
La rencontre du shôjo avec le seinen, deux genres majeurs qui accouchent d'une énormité à ne plus jamais reproduire...