S'il fallait un symbole au cinéma de Tarantino, ce serait Pulp Fiction. S'il fallait un hommage à la culture américaine, ce serait aussi Pulp Fiction.
Une histoire de gangsters assez banale devient sous la caméra de Tarantino et une tripotée d'acteurs géniaux d'une tension incroyable.
Ce premier tome semble relater une époque que l'on ne retrouvera pas dans la suite. Ainsi, contraint par son sujet, la narration est dynamique et cette énième histoire arthurienne passe plutôt bien.
Cathala dessine en compagnie de ses camarades des constructions attrayantes, saupoudrées de thèmes souvent surprenant qui jouent sur les asymétries.
Du Jack Black typique, avec de l'organe génital à tout va et un gros grain planté au milieu du crâne. Inégal, et décevant.
Malgré les apparences, ce film initié par Djamel Bensalah ne joue pas la carte de la provoc mais celle de l'humour tendre et pacifiant, qui fonctionne plutôt bien grâce à un casting sympathique.
En refermant ce deuxième volume de la trilogie, l'idée d'avoir fait du sur-place ne nous effleure pourtant pas une seconde, puisque nous avons partagé un nouveau point de vue, tout aussi immersif.
Soixante minutes d'agressions intenses créées par les machines décadentes du Suédois qui happent l'auditeur dans un univers qui rend sale et honteux.
La trois dimensions appliquée à un documentaire sous-marin, voilà de quoi satisfaire les observateurs les plus exigeants. Niveau connaissance, on repassera.
Quatrième et pénultième volet de la série, ce tome démonte en dix pages toute la bienveillance née à la faveur du troisième opus.
Nouvelle réédition, chez Le Lombard, d'un classique compilé, permettant au pékin lambda de devenir un cador de l'Histoire de la BD.
Assurément une réussite là où on ne l'attendait pas spécialement. Le genre est bien utilisé sans suffire de prétexte à un jeu supplémentaire vite réalisé. Le tout est soigné, ardu et agréable à jouer.
Nouvelle parution chez Soleil Celtic, et peut-être une de trop. Malgré une histoire qui pourrait offrir de l'intérêt, le tout est plombé par un trait académique sans réelles nuances, autres que celle du coloriste.
Ce tome 2 des enquêtes de Michelle Krachek s'avère être une excellente suite, qui se paie le luxe d'apporter un éclairage nouveau sur le premier tome.