Le nouveau mélo d'Almo, qui aime toujours autant son égérie Penélope Cruz que le cinoche en général. Sans doute un peu trop long vers la fin, mais le plaisir est là.
La saga de Luther Arkwright trouve une conclusion (provisoire ?) dans ce dernier tome plein de bruit et de fureur. Le final est un chouia décevant, mais la barre avait été placée si haut...
L’intérêt de cet album tout en volume et à l'ambiance mystérieuse, réside davantage dans le soin de ses décors et de ses prises de vues que dans l’histoire elle-même.
Un film destiné à la gente féminine, et encore. Le peu d'attraits et l'indigence de l'ensemble aura tôt fait de le jeter dans les bacs à DVD en promo.
A l'occasion de la sortie de son premier album solo, Bebly se laisse aller le temps d'une interview automatique...
Des petits animaux chelous qui fonctionnent à l'affectif dans un petit jeu de rôle légèrement bébête, mais tellement efficace qu'on se prend au jeu à tout âge et sans y réfléchir. Un pur plaisir au final et dans la meilleure version possible qui plus est.
Un très bon compromis d'action et d'aventure pour ceux qui veulent passer un grand moment d'apesanteur rappelant un peu Prince of Persia et légèrement Mirror's edge. Un grappin qui vous emmènera loin mais pas non plus jusqu'au pays des rêves.
Il y a plus de cinquante ans, le premier être vivant était envoyé dans l'espace par les Russes. Un toutou condamné à périr dans les étoiles, dont Nick Abadzis raconte la destinée avec pertinence.
En 1984, James Cameron et Arnold Schwarzenegger décrochaient la timbale avec un petit film d'action ancré dans une science-fiction échevelée. Ils étaient loin d'imaginer que l'histoire continuerait 25 ans plus tard.
Un très grand titre qui nous fait voyager dans le magnifique pays de l'octogone. Dès qu'on en sort on est déçus par contre : interface assez ronflante malgré une musique bien choisie et des éléments de design très chouettes. Le gameplay est exceptionnel et les phases de jeu quasi parfaites. Un bijou.
Un bon gros tour de train fantôme, qui montre que Sam Raimi est resté le grand dégoûtant qu'il était à l'époque du premier Evil Dead.
Un exposé intéressant mais purement factuel des exactions de Marcel Petiot, dont on aurait aimé explorer le psychisme plus en profondeur. Par le scénariste de Trent.
Ultor Exposed est le premier contenu téléchargeable à arriver sur Saint row 2.
Il arrive avec comme ambassadeur, la belle Tera Patrick... Tout un programme.
Le Vatican combat les forces du Mal, c'est bien connu (heu...) mais de manière pas toujours très catholique. Trinity Blood combat le Mal par le Mal...
Collision, c'est la rencontre entre le héraut du dub français, Ez3kiel, et l'un des fleurons de la scène noise-indus française, Hint. Une tuerie !
Non Jacques Brel n'est pas ressuscité. Mais son aura est intacte et pour vous le prouver, nous vous invitons à aller découvrir les morceaux choisis de sa vie dépeints en chansons, textes et comédie...
Deuxième tome, toujours aussi épatant de l'adaptation en BD du roman de Robin Hobb. On y prend, peut-être un peu plus qu'avant, la mesure du talent des auteurs.
Sans doute pas aussi réussi que L'étrange Noël de M. Jack, mais on y retrouve la personnalité de son réalisateur Henry Selick, servie par de nouvelles technologies et une histoire universelle.
Denis Lapière et Ruben Pellejero : peut-être attendait-on trop de ce duo talentueux, mais cette romance latine, toute authentique qu'elle soit, n'a rien pour marquer durablement les esprits.
Loin de l'insipide Da Vinci Code, Anges & Démons est une efficace course contre la montre qui fait fi de toute crédibilité. Mais du coup, ça passe mieux.