
Il n'en faut pas beaucoup pour dire que Life est un manga choc. A travers le quotidien de son héroïne, découvrez le monde sans concession des lycéennes japonais.

Bien que la couverture soit peu engageante et devant l'appréhension communément admise face aux ouvrages qui traitent d'un complot épiscopal, il faut admettre le vrai plaisir que l'on retire de cette lecture.

Danzaisha, c'est deux fillettes qui usent de toute arme pour purifier le Mal absolu. Bien mais aurait pu mieux faire...

Du Yoko des premières et des dernières années, juxtaposés autour de la thématique des robots. Leloup a quand même bien balayé le spectre des thèmes abordables en science-fiction.


End War permet enfin au joueur "console" de profiter d'un jeu de stratégie en temps réel de qualité où la voix permet de donner ses ordres. Essai presque transformé.

Bien filmé, écrit avec intelligence, la dernière livraison de Clint Eastwood n'en distille pas moins un parfum d'ennui et de mollesse. Dommage.


Avec une équipe féminine pour la partie graphique, sans que cela ne soit visible si on ne le sait pas (et même alors), Istin rajoute une couche d'arthurien dans Soleil Celtic.


Roschdy Zem, Marie Gillain, et Jean-Paul Rouve partent à l'assaut de la grande tour ! Et c'est Pierre Jolivet (à ne pas confondre avec un des nombreux autres Jolivet du monde du spectacle) qui nous filme ça !

"Branchez la guitare, chantez la guitare, je m'en fiche, je préfère le rock, allons enfants, jouez!"
Hé oui, je suis une légende, moi aussi, et sans me coltiner de zombies !



Unsolved Crimes réussit son arrivée sur l'écran tactile de la DS via un concept de jeu type point & click basé sur l'observation et la déduction.

Natacha de 1974 à 1977, dans une édition intégrale richement documentée et émaillée d'indications du créateur-dessinateur Walthéry. La charmante hôtesse ne s'envoie peut-être pas en l'air, mais elle reste planante.


Jeu légèrement novateur dont les grandes qualités graphiques plongent dans une immersion assez magique. Un bel ovni à déconseiller aux fans de FPS. Ici de la couleur, du rêve et du bonheur... peut-être un peu trop mignon du coup.

Les anges vivent parmi nous, nous écoutent, nous apaisent. L'un d'eux est Nicolas Cage, quelques années avant de devenir un démon du nanar d'action.

Encore un Largo Winch. Le beau gosse milliardaire revient pour des aventures pleines de rebondissements, mais sans aucune originalité. Ça se lit et ça s'oublie.

Leonardo prend son flingue pour dérouiller du terroriste, tandis que Russell Crowe pousse un caddie dans un supermarché. Ridley Scott n'a pas toujours fait des étincelles, ce film n'en fera pas non plus.




"Le bon roi Dagobert avait son frog à l'envers. Le grand saint Eloi lui dit : O mon roi, votre majesté est mal culottée. C'est vrai, lui dit le roi, je vais la remettre à l'endroit !"