
A première vue, ça a l'air complètement naze. En vrai, c'est bien. La vie nous réserve parfois des surprises, figurez-vous.

Agatha Christie à la française, c'est un peu comme en anglais mais sans Poirot. Sans être confondant d'originalité, c'est un honnête divertissement avec de bons acteurs.

Artefacts ravira les amateurs d'electro-rock peu avares en montées et explosions extatiques. Du tout bon !

Jesse James, ce n'est pas seulement Brad Pitt. C'est une icône de la culture américaine, un hors-la-loi dont la légende a inspiré les variations les plus farfelues en marge des quelques œuvres sérieuses consacrées à sa vie.

Un recueil d'histoires courtes réaliste signé par un mangaka plutôt habitué à la science-fiction.

« Note pour plus tard : rédiger une critique de Parker Lewis ne perd jamais » On savait que le post-it collé sur le frigo de la rédac' servirait un jour à quelque chose.


Du rock new-yorkais sur lequel il faut se précipiter. Retour en force d'un groupe qui ne demande qu'à prêter une oreilles attentive.


Une comédie romantique juste amusante. Rien de plus a priori. Par l'auteur de Midori Days.

C'est l'histoire d'un tout petit disque porté par un interprète de talent nommé Mathieu Vermeulen. En l'espace de douze titres, le voici qui nous embarque aux quatre coins du monde dans des contes tout en finesse.


Au bout de quinze ans d'existence, le personnage de Tony Stark est enfin confronté à un adversaire digne de ce nom : son mini-bar. Ou plus exactement (il est milliardaire) son maxi-bar.

Film ambigu et savoureux, mélant angoisse et charme dans une intrigue simple mettant en scène des personnages tordus. La peur de la vie est égale à la peur de la mort et chaque jour l'un ou l'autre arrive. Une oeuvre sensible et angoissante sur les choses qu'on ne comprend pas même au cinéma.

Une bande-dessinée historique, à la fois dans son propos et pour son importance dans l'histoire du neuvième art. Epique, grandiose, romanesque, haletant... bref : un chef d'oeuvre.

L'étau se resserre dans ce deuxième tome. Bons sentiments et clichés sont de la partie, mais la série a un bon fond, et peut s'envoler dans le troisième opus.


Les Muppets sans le côté people... Fraggle rock était LE show musical pour enfants des années 80. Jim Henson était un boss.


Drôle de week-end pour cette jeune femme qui, alors qu'elle s'enfonce inexorablement dans la déchéance, va trouver suffisamment de force pour se reconstruire.

Loving Stone.


Conte rude et poétique, rêve éveillé plus vrai que la réalité, Lucille est un formidable récit tout en images du passage de l'adolescence à l'âge adulte, débordant d'humanisme et de sincérité.

Mauvaise, la série s'avère un intéressant catalyseur de la déliquescence du style AB. C'est effectivement à partir du Miel et les Abeilles que tout partira en sucette.
