

Western intimiste en scope noir et blanc, 3h10 pour Yuma première cuvée vaut le coup d'œil en attendant son remake imminent.

Suspense et gros sabots : Damoclès se positionne dans le rayon des blockbusters pas trop exigeants mais un peu racoleurs.

Un brouillard mystérieux envahit une petite ville. Adaptation de Brume, de Stephen King.

Sans être le pire show du monde, le K2000 des années 2000 ne provoque pas d'excitation particulière. Tout juste apprécie-t-on les clins d'œil à l'original.



Seconde et dernière journée pour le Festival Minimum. Un dimanche pluvieux mais réservant de très bonnes surprises musicales.


Dany Boon détrônera-t-il Astérix au box-office ? Il le mériterait, tant ce succès marquerait la victoire de la sincérité sur le marketing. Vas-y Dany.



Action haletante à l'américaine et scénario ultra-light : les productions Europacorp continuent à servir de tremplin pour Hollywood aux artisans de blockbusters.

Nenuko convie les esprits de Prodigy et consorts en zébrant sa techno de guitares crades. Les nostalgiques que nous sommes vont avoir les yeux mouillés.

Un second album qui se laisse écouter, mais ne convainc pas et ne soulève pas les foules comme le premier a pu le faire.

La critique de la première soirée du premier Festival Minimum.

Rantanplan plan-plan : de l'humour éculé dispensé sans enthousiasme par une équipe de moines copistes du style Morris. Lucky Luke, où es-tu ?

Malgré quelques maladresses, Skins connaît des moments de grâce qui rappellent la fulgurance juvénile de Hartley, coeurs à vif ou le sentiment de décalage d'Angela, 15 ans.

Science-fiction oppressante au photoréalisme impressionnant : on attend désormais avec impatience le troisième et dernier volet du Complexe du chimpanzé.


The Club, sans nul doute, restera aussi confidentiel que son nom le laisse penser. Pas facile d'être un très mauvais jeu de nos jours...


C'est l'histoire d'un jeune homme à la croisée de ses mondes. Il avance sans regarder et profite d'une caméra experte et d'un acteur de talent pour nous baigner dans une atmosphère riche de réalisme et de sobriété. Une musique pour les yeux.


Dilbert et sa vie absurde d'employé de bureau sont encore pleins de ressources. L'univers du travail est une manne inépuisable pour le génial Scott Adams.