High Tone nous pond là le meilleur disque de sa carriere, maelstrom grandiose de sonorités world, electro, dub, expérimentales...
On économise les pinceaux, la peinture, le parquet, le papier peint et les meubles, et on prend sa télécommande: D&Co est là, pour nous sauver de l'anticonformisme rebel, pour nous faire rentrer dans le moule.
L'enfer d'Erica Bain n'est pas pavé de bonnes intentions.
Une pianiste classique passionnée par les loups, auteur d'un livre intitulé Variations sauvages. Imaginez un peu le potentiel d'envoûtement et de fascination que peut renfermer un tel personnage...
Parfois un concert à 15€ dans une salle avec 40 personnes devient le " best gig ever ".
Depuis vingt ans, Pierre Tombal est toujours la plus adulte des bandes dessinées pour adolescent, et un des derniers titres classiques à tenir encore la route malgré le poids des ans.
Bien que destinée à un public clairement enfantin, la série gagnerait à s'arrêter avant de sombrer, comme certaines consœurs, dans la galerie de vignettes au scénario anémique.
Un nouvel artiste pétri de talent envahit la scène française avec un message de colère à fleur de peau. Place à Benoît Dorémus.
On peut déjà imaginer aisément que la petite fille trouvera ses fans et séduira un large lectorat sans rebuter les adultes. La série s'annonce comme une nouvelle valeur sûre de la collection Tchô, multipliant les héros qui séduiront la gente boutonneuse.
Lier stratégie, tactique, jeu de cartes et hasard de manière intelligente et efficace ? Condottiere relève le défi en nous emmenant conquérie l'Italie.
Après la ville zombiesque de Zombies!!!, voici venir la base militaire infestée de zombies. Comment dérouiller du mort-vivant sans réfléchir et en bourrinant...
Quand il fait froid, quoi de plus indiqué que de se tenir chaud en se serrant les uns les autres ? Les pingouins ont tout compris, même si ça ne les empêche pas de réfléchir.
On s'ennuierait presque s'il n'y avait pas tout un pan de second degré à découvrir... qui n'est, parions-le, absolument pas souhaité.
"Thorgal, les dieux ont mis un homme à l'épreuve".
Trop long. Voilà le seul reproche que l'on peut faire à ce roman déjanté, barré, qui met un coup de 45 fillette au derrière du lecteur.