Il était une fois en Italie... petit retour sur le western spaghetti.
Une adaptation inutile car démesurément simplifiée à moins d'amener des jeunes lecteurs à découvrir les mangas du maître dont Yamamoto glorifie les talents à travers les pages de transition
On se retrouve dans une forêt vierge en compagnie d'un Michael Nyman de triste humeur ou d'un Wojciech Kilar en pleine période Dracula.
Avishai Cohen poursuit sa recherche d'élargissement de sa musique aux influences méditerranéennes dans un désir de réconciliation. Mais à vouloir trop en faire, il finit par se disperser...
Une musique fraîche, vibrante et stimulante où le traitement du son est primordial. Il est alors sans doute préférable d'écouter cette oeuvre au casque pour en tirer toutes les subtilités.
Traumatisant
Le Budapest Jazz Orchestra démontre de manière magistrale que la Hongrie n'a rien à envier aux américains en matière de Big Band !
Rapport 2006 de l'ACBD
Critique des tomes 1 à 3 : Un excellent triptyque, régulier du début à la fin, un parcours sans faute, tout simplement, à conseiller vivement à tous les amateurs du travail de Giroud.
Le cadre est intime et sympathique, et ce soir a séduit quelques touristes américains en mal de cachet parisien. Bien avisés puisque le tour spectacle s'intitule Paris-Terminus...
La face karchée de Sarkozy n'est pas une mauvaise bande dessinée. Le défi relevé par les trois auteurs est honorable en soit. Mais malgré les propos justifiés, nous ne savons pas réellement si on cherche à nous fournir des informations cachées ou à nous forger une opinion pré-fabriquée.
L'héritier des étoiles n'est pas une mauvaise bande dessinée, sans pour autant être un chef d'oeuvre. L'histoire n'est pas désagréable à lire mais l'univers semble trop proche de nous pour que nous prenions plaisir à le découvrir.
Un troisième opus misérable après deux premiers albums audacieux. Que de regrets...
Une réelle qualité de son mais on aurait pu sans aucun doute se contenter d'un envoûtant EP... Dommage !
Les atmosphères sont toutes en fluidité, et laisse l'imaginaire évoluer en toute délectation. Jóhann Jóhannsson atteint tout simplement la perfection.
C'est ainsi qu'après une série de suites pour violon et alto, quelques collaboration avec divers ensembles européens, il propose aujourd'hui cinq pièces pour ensemble baroque.
Si l'on s'accordera sur une relative pertinence dans le choix des morceaux, on regrettera une relative convenance dans l'interprétation...