Entre déflagrations électriques et respirations acoustiques, Big Satan s'attache à pénétrer notre subconscient et nous persuade de le suivre sur les chemins sinueux et accidentés de la perdition.
Le trio de Stefan Orins réalise un album des plus cohérents, affirmant son caractère par rapport à la scène française, comme héritier d'une tradition pourtant ancrée ailleurs.
En toute sérénité, loin du chaos des villes, Ivo Sedláček se balade à travers des contrées où chacun aura plaisir à méditer, de l'Inde à la Chine, entre hindouisme et bouddhisme.
Critique du DVD
Tord Gustavsen poursuit un travail sur la transparence, les volumes, la suggestion. Des ballades qui, dans la lenteur, font vibrer les émotions les plus intimes.
Avec ce nouvel album, Achim Kaufmann confirme sans aucun doute sa place à l'avant-garde du jazz européen.
Gulag Orkestar vous entraîne dans un folklore des pays de l'Est plus ou moins fantasmé, festif et improbable. Difficile de résister à ce petit ouvrage débordant d'enthousiasme.
C'est une BD humoristique d'actualité, qui abonde dans nos librairies aujourd'hui mais qui, vite périmée, se retrouvera sur les étalages des marchés aux puces demain.
Fluffy en Sicile est donc un album appréciable pour son innovation et son culot narratif, sa façon d'aborder le quotidien avec tendresse et humour, sans naïveté.
Critique du dyptique : Muchacho est un diptyque grandiose, un grand moment de la collection Aire Libre.
Un rire dans la nuit fait partie de ces nombreux albums qui impressionnent par leur univers graphique mais laissent le lecteur sur le carreau pour ce qui est de la linéarité et de la facilité d'accès de leur scénario.
Imaginaire débordant, humour déroutant : un manhwa qui ne ressemble à rien de connu !
Entre musique écrite et improvisations, Alban Darche propose un album où les différents intervenants tirent tous, en douceur, la couette de leur côté...
Winand impressionne par sa maîtrise de l'instrument "voix", jouant des onomatopées avec une facilité, une aisance déconcertante.
Toute aventure de John Zorn n'est pas sans risque, mais il est évident que le jeu en vaut la chandelle tant l'excitation qui se dégage de l'écoute de ce disque est essentielle.